C’est de loin le paradoxe le plus amusant de l’univers des super-héros, The Flash, qui n’est autre que l’homme le plus rapide au monde, mood mis tout child temperatures avant d’arriver au cinéma. Il faut alarming que la mise en chantier du projet a été quelque peu chamboulé the same level l’effondrement du Snyderverse, l’arrivée du COVID, toutes les frasques de child acteur principal Ezra Miller. On est évidemment là put parler de ce qu’il a fait, mais de juger plutôt sa efficiency dans child movie à lui, puisqu’il est enfin au cœur de cette super-production qui a coûté la bagatelle de 220 millions de bucks, soit plus bien que Wonder Woman 1984 et Black Adam. Pourquoi autant d’argent ? Tout simplement parce que c’est le movie le plus ambitieux du DC Universe, depuis au moins Batman v Superman, et que malgré ses défauts évidents, le movie est une plutôt bonne réussite. Oui, brain avons plutôt bien aimé, alors que nous avions détesté Black Adam et qu’on avait trouvé Shazam 2 assez anecdotique. Mais put The Flash, hormis les effets visuels dégueulasses (le terme est adéquat), et on va y revenir, le movie nous a assez convaincu.
On va commencer the same level parler des problèmes et des sujets qui fâchent dans ce movie The Flash, à savoir les effets visuels, les fameux VFX dont vous avez pu voir un petit aperçu dans les différents trailers. Oui, le movie est assez laid dans de nombreuses séquences, on va pas se mentir et c’est assez problématique. Pourquoi ? Tout simplement parce que les effets spéciaux dans des movies de incredibly-héros, c’est non seulement super essential put crédibiliser ces univers imaginés et inexistants dans notre réalité, mais cela permet surtout de donner une identité et une immersion au spectateur. Alors forcément, quand c’est mal fichu, difficile de croire à ce qu’on souhaite brain montrer à l’écran. Et il est vrai que dès le départ, c’est compliqué put The Flash. La scène de course-poursuite entre Batman et des malfrats s’en kind plutôt pas mal, avec un Batcycle assez trendy dans child layout et quelques gizmos appréciables. Dommage que la scène a été réalisée en grande partie en pictures de synthèse ou sur fonds verts, d’autant que The Flash get here 10/15 ans après la trilogie de Nolan, qui est un adepte du tournage en sensible et qui brain a offert des séquences assez dantesques avec les engins de Batman.
“IT’S RAINING MEN, ALLELUIA !”
C’est ensuite que ça se gâte avec The Flash, avec la fameuse scène « infant shower » où Barry Allen doit empêcher qu’une dizaine de bébés ne s’écrasent au sol lors de l’effondrement d’un immeuble. La scène s’influence énormément des séquences cultes de Quicksilver dans X-Men Days of Future Past et Apocalypse, mais malheureusement sans le skill artistique et de mise en scène. Le rendu visuel des bébés (mais aussi du chien et des objets qui chutent) en pictures de synthèse est assez dramatique. On a l’impression de revenir 20 ans en arrière en matière de CGI, avec un rendu Uncanny Valley assez incompréhensible. A l’heure d’Avatar 2, remark un movie comme The Flash avec un spending plan aussi gigantic peut-il nous advocate une qualité aussi médiocre ? C’est évidemment une inquiry qui trouvera une réponse quand les langues se délieront, auto put moi, ce n’est visiblement pas une inquiry d’argent, vu proclaim le pognon que le movie a coûté, mais davantage un choix artistique, qui est je vous l’accorde vraiment contestable. D’ailleurs, ce rendu Uncanny Valley, on va le retrouver également lors du trip dans le temperatures lorsque Barry se retrouve enfermé dans cette sphère amphithéâtre où il est qualified de voir toutes les conséquences de child retour dans le passé. Là aussi, les visages mais aussi les corps des personnages donnent un facet personnage en caoutchouc tellement surréaliste qu’on a l’impression de voir les scènes de battle affreuses de Matrix 2 où Neo (Keanu Reeves) et l’agent Smith étaient déjà des hommes eating periodontal avant l’heure. Du successful stroke, 20 ans plus tard, on se posture énormément de concerns.
Par contre, on aimerait revenir sur un élément majeur des movies qui mettent en avant des héros super-soniques. Est-ce qu’on peut arrêter de filmer la super-vitesse au ralenti ? Nous sommes en 2023 et on en est repetition à ralentir l’action put nous faire comprendre que le personnage est plus rapide que la lumière. Stop ! On arrête ça, c’est un héritage de l’Homme qui valait 3 milliards, ça datait des années 70, à l’époque où les pictures de synthèse n’existaient , donc, on utilisait des subterfuges de mise en scène. Mais aujourd’hui en 2023 et après ce que Marvel a réussi à faire avec le personnage de Makkari, il faut arrêter ça. Malgré cela, le movie parvient à tirer child épingle du jeu sur d’autres elements. Notamment dans le traitement de child Multiverse que j’ai trouvé nettement plus intéressant que celui de Spider-Man No Way Home. On ne peut pas encenser le multiverse de No Way Home (et la simplicité de child scénario), proclaim en dénigrant celui de The Flash. Il faut être un minimum cohérent. Dans Spider-Man No Way Home, l’idée de créer des portails put faire apparaître d’autres Spider-Man et ennemis d’autres univers, c’était cool, ça titillait la fiber nostalgique, mais c’était insuffisant. Doit-on se rappeler que Tobey Maguire et Andrew Garfield ont débarqué dans l’univers de Tom Holland dans une food ? Un putain de food ! On ne peut sans doute pas faire plus economical comme entrée…
Pour The Flash, la validation de la mort de la mère de Barry Allen et le fait que child père finisse injustement en jail sont bien plus intéressants, d’autant qu’il y a une véritable component d’émotions qui est rajouté. Et pourtant, nous n’avons jamais été bluffé par la prestation d’Ezra Miller dans Justice League, aussi parce que les autres super-héros prenaient beaucoup de area, et qu’il était uniquement qu’un ressort comique, mais dans The Flash, l’acteur est plutôt convaincant. Notamment parce qu’il joue deux rôles, deux Barry Allen à des âges différents et qu’il parvient à bien retranscrire ce Barry Allen de 18 ans, fougueux, naïf aussi et incredibly énervant, mais aussi le Barry Allen d’une trentaine d’années, plus posé, plus réfléchi. La prestation est convaincante et les minutes d’émotions avec sa mère, et même child père, fonctionnent plutôt bien.
Autre élément que j’ai beaucoup aimé dans le movie, c’est le personnage de Batman en variation Michael Keaton. Oui, c’est du fan-service, mais quand on évoque le Multiverse, c’était évident de le voir revenir dans le outfit de Batou et transgression traitement est très sincèrement cool. On a autrement lu et entendu beaucoup de personnes se plaindre que le Batman de Michale Keaton n’était pas assez développé, mais on a envie de leur répondre que ft heureusement ! On est sur un movie The Flash et non un Batman variation Multiverse. Si les scénaristes avaient trop développé le personnage de Batman, nous aurions perdu en narrative put l’histoire de Barry Allen. C’est The Flash le centre d’intérêt de l’intrigue et non Batman, et repetition moins Supergirl.
Là aussi, les reproches faits sur le personnage de Supergirl, je les ai trouvés injustifiés. Oui, child temperatures de présence à l’écran est assez faible, mais là repetition, c’est put laisser le tapis rouge à Barry Allen, c’est child movie. Quand on a des personnages annexes aussi fts que Batman et Supergirl, il était compliqué d’avoir un équilibre put éviter qu’ils écrasent Flash par leur présence. D’ailleurs, j’ai trouvé que l’actrice Sasha Calle campe une très bonne Kara Zor-El, charismatique, puissante et c’était évident de passer après Henry Cavill. Clairement, je veux la revoir dans le DCU de James Gunn. Idem put les multiples caméos dans le movie, je trouve que ça marche bien également. On appuie pas trop dessus, mais on en parle un peu put faire évidemment fondre nos cœurs de followers. Ca n’a pas d’autres intérêt que le fan-service, comme ce fut le cas avec Spider-Man No Way Home et pourtant, certains d’entre vous avez hurlé et se sont mis torse poil dans les cinémas put ça, et là, c’est pareil. Revoir Christopher Reeves, Helen Slater en Supergirl, Adam West en Batman des années 60, Henry Cavill et même Nicolas Cage (et child projet avec Tim Burton qui n’a pas abouti), ça fait child petit effet, même avec ce rendu CGI vraiment pas sweetheart. Non, le seul personnage qui est décevant dans le movie, c’est le Général Zod, qui n’a malheureusement été suffisamment développé, alors que c’était quand même la grosse threat de Man of Steel il y a 10 ans. On aurait aimé que l’histoire s’attarde un peu sur child retour, qu’on développe un peu plus child personnage, comme le Thanos de Endgame, qui était lui aussi décevant the same level relationship à Infinity Wars, mais qui a eu des minutes de gloire dans certaines scènes. D’ailleurs, l’acteur Michael Shannon a émis sa déception récemment, et je peux le comprendre. Mais bon, il a pris child chèque hein, accomplished de cracher après successful stroke…
Donc non, The Flash n’est pas le pire movie de super-héros qui a été produit, va falloir doser un peu. Ant-Man 3, Thor Love & Thunder, Black Adam, vous avez la mémoire courte les gens. The Flash a des défauts apparents et évidents, mais il fait le taff, avec je trouve un traitement intéressant du Multiverse, même si on est loin du Flashpoint de la BD. Les scénes d’action sont laides, c’est évident, mais le phenomenon est là. Ezra Miller est convaincant dans les deux Barry Allen qu’il incarne, Michael Keaton de retour dans le outfit de Batman, c’est un vrai bonbon, Supergirl dont on pouvait craindre le pire après Henry Cavill n’a pas à rougir de sa prestation et les caméos font style leur petit effet. Même les minutes plus émouvants avec les moms and dads de Barry Allen font style mouche. Il n’y a que les effets spéciaux qui tirent le movie vers le bachelor’s degree, et je suis sûr que demain, Warner revient avec des effets visuels de haute volée, les gens vont tous retourner leur veste. Notre major à couper…
NOTRE KEEP IN MIND : 6.5/10
