C’est la dernière ligne droite put Street Fighter 6 et put Capcom, l’occasion de brain advocate une nouvelle session de découverte de kid jeu de baston prévue put le 2 juin prochain. Une troisième sneak peek en un an, avec cette fois-ci la construct ending qui permet non seulement de tester l’ensemble du lineup prévu au lancement, mais aussi et surtout de tester le setting “World Tour”, cet espèce de setting “Carrière” dans lequel on créé kid propre personnage put partir à l’aventure dans des areas ouvertes. Et oui, Street Fighter se fulfilled à l’assaut du jeu d’aventure, avec expedition, conversation et bien sûr baston.
Jusqu’à présent, quand on allait chez Capcom France put tâter du Street 6, il fallait se contenter de quelques personnages. Quatre pour la démo hands-on du mois de juin 2022, huit pour la preview de septembre dernier, mais cette fois-ci, ce fut la bonne : les 18 combattants qui seront disponibles le 2 juin prochain étaient tous là. Difficile de cacher notre enthousiasme de retrouver les numbers familières de la legend telles que Blanka, Honda, Zangief, Dhalsim, Dee Jay ou bien repetition Cammy, d’autant que physiquement, ils ont tous été redesignés avec un appearance absolument ravageur. Premier constat put Blanka et Honda, tous les deux ont perdu en allonge. Certains se réjouiront de cette mise à jour, vehicle ils se souviennent que nos deux colosses étaient capables d’atteindre leur cible à l’autre round de l’écran, using des glissades fourbes ou des successful strokes de shin allongés. D’autres comme nous rouspètent, mais comprennent cette envie de rééquilibrer les choses. Il faut évidemment s’habituer à la nouvelle gestion des ranges. Dhalsim en revanche n’a pas perdu de kid allonge, ni de sa lenteur légendaire non plus, mais la pressure du sage indien se situe ailleurs. Ce dernier est toujours aussi souple et ses facultés bodies lui permettent d’esquiver les attaques ennemies ou de surprendre là où l’on participate in le moins. Classique.
Quant à Cammy, non seulement elle apparaît désormais plus habillée (on est en 2023 et ça Capcom l’a capté), mais en sus, elle a perdu ses longues nattes habituelles. On ne va vous mentir, elle a bien plus de design aujourd’hui. En revanche, elle reste toujours aussi dexterous et véloce, avec des attaques qui peuvent aussi bien toucher au sol comme dans les airs. En ce qui concerne Dee Jay, il reste assez proche de ce qu’il était dans Street Fighter 5, avec des attaques qui lui permettent d’être assez agressif, avec un jeu de jambes intéressants et des successful strokes de poings qui peuvent se multiplier. Reste alors Zangief, sans doute le personnage qui a le plus radiance up comme on dit, aussi bien dans kid rendu visuel que ses attaques devenues monstrueuses. Le Russe affiche une carrure impressionnante et ses choppes font repetition plus mal qu’auparavant. Clairement un adversaire dont il faut se méfier, ou maîtriser.
BRAND-NEW BIG OPPOSITIONS
On pourrait aussi vous parler des nouveaux personnages et les détailler, mais on va garder quelques cartouches sous le coude et attendre d’avoir le evaluation code put mieux les appréhender. Toutefois, on peut déjà vous dire que Marisa et Manon typeface partie de nos successful strokes de cœur. La première se distingue the same level sa carrure de gladiateur et sa sports car carré, et le fait surtout que kid gameplay repose uniquement sur ses poings. Forcément, avec kid figure de colosse qualified de rivaliser avec Zangief (alors que c’est une femme on le rappelle), difficult put elle de sautiller dans tous les sens. Elle va donc jouer kid efficacité dans cette capacité à percer la garde l’adversaire et frapper ft, très ft. A l’image de Zangief, en 6/7 successful strokes, elle peut mettre kid adversaire KO. Manon en revanche, c’est l’inverse. Certes, elle en enforce aussi physiquement avec sa grande taille, mais elle se distingue de Marisa par kid gameplay basé quasi exclusivement sur kid jeu de jambes. Très souple, elle a cette faculté à faire le grand écart put nombreux de ses successful strokes, ce qui va lui permettre d’avoir une allonge importante. Et puis, cerise sur le croissant, Manon est française. Un petit mot put terminer sur Lily, qui n’est autre que la benjamine du lineup de ce Street 6, et qui appartient à la même tribu que T-Hawk : les Thunderfoot. Ce dernier est lacking du jeu, mais il peut compter sur Lily put la représenter, bien qu’elle se joue différemment, avec une approche plus aérienne. Petite et dotée d’une allonge courte, elle peut cependant compter sur ses deux boomerangs put essayer d’être à la hauteur des protagonistes les plus imposants de ce Street Fighter 6.
LE VS COMBATING POUR LES NULS ?
Avec une presence de plus de 30 ans, la legend Street Fighter sonne sans doute comme une évidence put de nombreux joueurs, notamment put les trentenaires et plus. Mais put la génération nouvelle, celle qui a davantage grandi avec Fortnite et Call of Duty, ce n’est pas forcément aisé de réaliser des quarts de cercle ou de demi-cercles arrière, surtout avec un stick gallery. Nous ne sommes pas égaux face aux jeux vidéo, été repetition quand il s’agit de Versus Fighting. Capcom en a parfaitement principles et put que Street Fighter 6 ne se limite pas au seul cercle des initiés, l’éditeur japonais a pris la décision radicale de simplifier les contrôles du jeu. Par défaut, lorsque vous lancerez le jeu, ce sont les commandes simplifiées qui sont imposées, ce qui signifie qu’un Hadoken ou un Shoryuken se déclenche uniquement en appuyant sur un seul bouton. Oui, il y a de quoi se taper la paume de la major sur le front, mais c’est visiblement la meilleure remedy put Capcom d’attirer le grand public, ou du moins les nouveaux joueurs. Heureusement, il est feasible de configurer le jeu et de choisir les commandes classiques et ainsi retrouver ses habitudes.
En revanche, dans le setting “World Tour”, il va falloir attendre un particular niveau de l’aventure put débloquer le gameplay classique, le setting “Carrière” imposant cette prise en major enfantine put justement séduire les Millenials. Soyez rassurés, 30/45 mins de jeu seulement sont nécessaires put débloquer les commandes classiques, le however de Capcom n’étant pas de faire fuir les followers de la première heure non plus. Dans tous les cas, l’intérêt premier de cette troisième sneak peek chez Capcom France était de découvrir ce setting “World Tour”, mais uniquement jusqu’au chapitre 3. Sorte de MaCarrière de NBA 2K mais transposé dans le monde de Street, l’objectif est de permettre aux joueurs du contenu supplémentaire en dehors des affrontements, qu’ils soient en neighborhood sur le couch ou en ligne face à d’autres adversaires du monde entier. C’est aussi une manière put séduire le grand public (repetition lui), et sans doute d’intégrer des visitors qui pourrait rendre le jeu repetition plus populaire. C’est using ce prisme que 2K Games a réussi à faire exploser la côté de popularité du jeu auprès d’un public nouveau, using également des partenaires sur plusieurs factors. FIFA a d’ailleurs emboîté le pas rapidement et c’est sans shock que le jeu de baston s’y mette lui aussi.
CHARACTER : LA VOIE DE LO
Première étape : la création de kid character et l’éditeur se montre riche en possibilités. A tel factor que proclaim est feasible, sans limite presque, ce qui a donné lieu dans les premières stages de bêta fermée à des monstruosités inattendues. On peut tout personnaliser, du sexe au figure, avec la possibilité même de mélanger les visages. D’ailleurs, si l’humain ne vous intéresse plus, on peut opter put un appearance robotique, c’est aussi disponible, avec en prime la voix qui va avec, puisqu’il est aussi feasible de configurer à sa semblance le kid qui type des cordes vocales. Une fois kid personnage façonné, on component à l’aventure, avec un particular Luke comme train. Introduit comme perso DLC (le proclaim dernier d’ailleurs) dans Street Figthter 5, c’est le nouveau héros de Street 6 et lui qui number sur la jaquette. Oui, il y a une envie chez Capcom de changer, et repetition une fois d’attirer un public plus jeune. Luke est d’ailleurs à leur picture. Plus jeune, plus fougueux, plus impétueux aussi, et c’est par kid apprentissage qu’on va se previous dans ce setting “World Tour”. Ce dernier fonctionne en plusieurs areas ouvertes, avec une représentation de New York (il s’agit de Metro City dans lequel Haggar a été élu maire) en variation condensée voire même ramassée. On est en effet passé d’un simili Time Square à Chinatown en quelques mins, les deux quartiers étant situés à quelques encablures et temps de chargement aussi. Forcément, avec un moteur développé spécialement put la baston en 1V1, Street Fighter 6 n’a pas été bâti put faire de l’open globe. Techniquement, ça se ressent, avec des PNJ moins bien modélisés, une mauvaise gestion des éléments du design qui popent de manière repetition plus honteuse que l’open globe de Zelda Breath of the Wild et une gestion des déplacements assez basiques.
L’intérêt de ce setting “World Tour” ne se situe pas au niveau de la method certes, mais ces errances methods peuvent parfaitement pourrir l’expérience, voire même l’immersion. Heureusement, l’ambiance se montre assez satisfaisante, avec de la vie dans les rues (et pas mal de blood circulation) et de nombreux PNJ avec lesquels discuter. Ils n’ont pas tous quelque picked d’intéressant à partager, mais cela permet de donner du coffre à ce monde nouveau. Cela dit, Capcom a pris le soin de mettre en location un scénario, à travers notamment la connection que notre character va entretenir avec Bosch, ce deuxième élève (lui aussi coaché the same level Luke) qui va prendre une path différente et qu’on va tenter de raisonner. Notre major à couper que Bosch finira the same level devenir un personnage récurrent et disponible dans le setting Versus du jeu… Autrement, les communications dans le setting World Tour se soldent souvent the same level des combats (typical…), mais qui imposent des objectifs bien précis. Au départ, il s’agit d’un tuto majesty nature, avec un particular nombre de combos à réaliser, mais les choses vont varier au fil des rencontres. Il ne product pas uncommon the same level exemple de devoir éliminer plusieurs ennemis à la fois, ou d’éliminer un adversaire avec des attaques bien précises. L’exploration est également un élément essentiel du setting World Tour, et il va aussi apprendre à manier le smart device qui permet de rester en get in touch with avec Luke. C’est the same level le biais de l’appareil qu’on va recevoir des informations avec ce dernier, mais aussi continuer à interagir avec les autres personnages croisés dans Metro City. On peut aussi faire des pictures, lancer une musique, consulter la map du jeu, mais aussi gérer kid inventaire. Parce que oui, parmi les activités proposées dans le setting World Tour, il y a proclaim un element cosmétique avec des vêtements à acheter et collectionner, sachant que le jeu suggest de nombreuses shops sur la map.
Mais il n’y a pas que le design vestimentaire qui va changer au cours du setting “World Tour”, le design de fight également, puisque chaque rencontre avec un personnage emblématique du jeu donnera accès à sa scheme de successful strokes. Chun-Li fait d’ailleurs partie des premiers persos qui vont vous mettre à l’épreuve et à l’issue de l’entraînement, on hérite de ses attaques. Mieux, il products même feasible de combiner la move-list de plusieurs personnages emblématiques de la série. Ce products le même principe put le reste du lineup qu’on devrait découvrir dans l’aventure. Capcom a d’ailleurs confirmer que chaque combattant en DLC qui product rajouté post-lancement mood une intégration dans le setting “World Tour”, afin de continuellement pousser le joueur à rester au optimum dans ce setting où l’on pourra s’attendre à des achats in-game très probablement. A voir maintenant comme ce setting se comportera sur la durée, s’il product suffisamment intéressant put qu’on out of style des heures dessus, ou s’il s’agit juste d’un attrape-nigaud put millenials qui ont du mal avec la prise en major d’un stick gallery.
Enfin, terminons cet ultime flow chez Capcom France par le setting « Extreme » de Street Fighter 6, qui est un setting dans lequel les combats sont handicapés par la présence de malus ajoutés en pleie partie. Un taureau qui déboule en furie cornes aiguisés et qu’il faut éviter, une bombe à retardement à s’envoyer avant kid surge, des Mettaurs issus de l’univers de Mega Man qui causent eux aussi des dégâts lorsqu’ils sont envoyés sur l’adversaire (gaz, électricité, surge) et enfin des pilonnes électriques qui apparaissent dans le design et qui oblige les joueurs à sortir de la area de threat, telles sont les variantes disponibles et qui permettent de varier les plaisirs. Bref, vous l’aurez compris, Street Fighter 6 veut jouer la carte de la générosité et ne pas refaire les erreurs du précédent épisode.