Alors que la saison de soccer touche bientôt à sa fin, avec la sacro-sainte Ligue des champions, que les championnats s’apprêtent à reprendre et que notre Laurely nationwide a ressorti ses vieux gants de gardien pour l’event, FIFA 21 a sérieusement pointé le bout de son nez pendant cet été. Pendant tout un week-end, nous avons pu éprouver un petit aperçu de la prochaine mouture sportive d’EA Sports. Alors ravi ? Déçu ? Convaincu ? Insatisfait ? La réponse est au bout de ces lignes.
Le timing n’était pas désiré mais au ultimate il ne pouvait pas mieux tomber. Covid-19 oblige et pour trigger de confinement-déconfinement, le foot a repris ses droits tard dans la saison, s’est achevé il y a quelques jours à peine (pour la partie championnat en tout cas), a encore des frissons à nous offrir avec les Coupes d’Europe et devrait reprendre du collier dans les semaines à venir. Et qui est là pour assurer la transition manette en major, fort de ses premières informations, distillées ici et là ? FIFA 21, qui aura l’importante tâche d’assurer la transition entre deux générations de consoles. L’actuelle, la PS4-Xbox One et celle qui devrait faire des ravages au second des fêtes de fin d’année, la PS5-Xbox Series X. On rappellera d’ailleurs à ce propos que le jeu sera upgradable d’une génération à l’autre : en clair, les possesseurs de FIFA 21 début octobre obtiendront une model gratuite de leur jeu sur les consoles next-gen et conserveront les gadgets obtenus, ainsi que leurs équipes, dans FUT et Volta. On y reviendra.
Après quelques minutes passées manette en major, le constat est assez évident : il y a de la vie sur le terrain.
Bref, FIFA 21 ne sera peut-être pas dans les bacs avant le 9 octobre prochain, cela ne l’empêche pas de parler sérieusement de lui. Même très sérieusement puisqu’au-delà d’une présentation d’1h30 avec une partie de l’équipe de développement, le jeu s’est offert à nous pendant tout un week-end, l’event d’en éprouver le gameplay, à travers deux modes : Coup d’envoi et Volta. On réabordera plus tard ce deuxième mode pour se concentrer dans un premier temps sur le premier, censé nous permettre de voir les nouveautés apportées sur le terrain. Et il y en a quand même pas mal, finalement. Le principal changement ou apport sur lequel les développeurs ont axé leur travail concerne le jeu offensif, assez stéréotypé sur les dernières variations, notamment au niveau des mouvements des joueurs, le plus souvent impulsé par des un-deux incessants sur le pré, situation sine qua none pour espérer voir du mouvement dans les vingt derniers mètres adverses, réalité encore plus importante face à des défenses regroupées ou à des équipes jouant avec une grosse mentalité défensive.
PLUS DE MOUVEMENTS, PLUS D’APPELS, PLUS DE JEU
Après quelques minutes passées manette en major, le constat est assez évident : il y a de la vie sur le terrain. Une vie qui se manifeste par le son, avec une ambiance sonore toujours aussi exceptionnelle – on pouvait entendre le speaker du Parc donner le résultat d’une tombola ou encore demander à un spectateur de déplacer son véhicule ! – mais aussi dans le jeu offensif, avec plus de programs de la half des attaquants, plus d’appels de balle et donc, plus de options pour le porteur du ballon. On constate assez vite que les promesses des développeurs sont tenus : le Positioning Personnality permet de s’adapter au type réel des plus grandes stars (celles au type le plus remarqué sur le terrain) et, comme son nom l’indique, à leur positionnement moyen et préférentiel pour finir les actions. Pour faire easy, un joueur habitué à jouer à la limite du hors-jeu le fera, tandis qu’un autre, plus propice à plonger dans le dos de la défense dès qu’il le peut, respectera à la lettre son credo. Idem pour un meneur de jeu aimant prendre son temps et appliquer ses remontées de balle, par exemple. Ce qui signifie – automotive en l’état, il faudra plus d’un week-end pour le juger et véritablement l’apprécier – que l’on devrait moins se plaindre de la “bêtise” de certains de ses joueurs, pas toujours en part avec la règle du hors-jeu ou manquant du aptitude nécessaire pour se démarquer, puisque ces derniers ne feront que reproduire les attitudes de leurs modèles réels.
Bien connaître son équipe et ses joueurs, ainsi que leurs statistiques précises, désormais plus liées entre elles, aura du sens et de la valeur.
Bien connaître son équipe et ses joueurs, ainsi que leurs statistiques précises, désormais plus liées entre elles, aura du sens et de la valeur et pour ce que l’on en a vu pendant nos events, le rendu est aussi appréciable que réussi. Ce n’est pas la seule nouveauté dans ce cas, puisque les Creative Runs sont également présents. Derrière ce nouveau terme, se cache ni plus ni moins une interplay plus poussée entre le joueur et le jeu de son équipe. Si les une-deux devraient encore fleurir cette saison, cette fois, on pourra décider de la path dans laquelle on veut que le premier joueur parte. Et, plus intéressant encore, lorsqu’on déclenchera n’importe quel kind de passe (donc pas forcément un une-deux), on pourra déterminer également la path des appels des joueurs entourant le porteur du ballon, le tout, pour l’une ou l’autre des deux strategies, avec l’utilization du stick droit analogique. Pour ne rien vous cacher, on ne s’est véritablement aperçu sur le tard de cette method, tant les appels de balle de nos joueurs étaient variés, que ce soit contre l’IA ou contre un autre joueur humain. Mais cette nouveauté de gameplay devrait avoir son incidence, c’est sure, notamment vu le nombre d’interactions simultanées potential, puisque cinq joueurs pourront être impliqués par ces programs créatives. Ce qui pourrait faire également la différence, ce sont les programs contrôlées. Déclenchées par les deux sticks (L3+R3), elles permettent tout simplement de contrôler un autre joueur sur le terrain et de déterminer, selon vos réglages, la path de son appel. Pas forcément easy à prendre en major – il faut savoir que pendant vous dirigez un autre joueur, même momentanément, c’est l’IA qui prend le relais du porteur de balle – cette method semble véritablement appropriée sur les phases de contre et sur les ailes, plus que dans les phases construites, où les programs créatives devraient permettre d’être plus efficaces dans l’axe du terrain. Evidemment, tous ces ajouts offensifs sont censés être contrebalancées par un rééquilibrage défensif.
UNE PERSONNALITÉ SUR LE TERRAIN PLUS ACCRUE, MAIS GARE AU DÉSÉQUILIBRE
Autant vous le dire tout de suite : dans les events que l’on a pu effectuer, nous n’avons pas senti d’énorme révolution dans ce registre, moins, en tout cas, que dans les phases d’attaque. Certes le Positioning Personnality concerne aussi les défenseurs, et la star de Liverpool Virgil van Dijk en premier lieu, permettant à ces derniers de jouer plus efficacement le hors-jeu ou de faire preuve d’une grosse agressivité, à l’instar du défenseur du Real Madrid Sergio Ramos. Mais en ce qui concerne l’IA, on n’a pas été bluffé par son placement en match, avec des grosses difficultés à jouer correctement la ligne notamment. Les gardiens ne sont pas étrangers à ce constat non plus, et ce, alors qu’on nous a promis des objectives plus réactifs sur leur ligne et moins de frappes victorieuses au premier poteau, l’assurance tout risque de FIFA 20. Le jeu qui nous était proposé n’était qu’une model démo et il y aura du temps d’ici au 9 octobre pour rectifier le tir mais les portiers avaient tendance à se décaler systématiquement d’un côté ou de l’autre avant une frappe, offrant du coup une answer beaucoup trop évidente au tireur.
Le système de collision a été revu en grande partie, permettant enfin à un joueur de continuer sa course ou de garder son équilibre après un contact malencontreux.
Mais, automotive il y a un mais, et positif celui-là, on a pu apprécier le retour d’une vraie bagarre pour la conquête du ballon. Le système de collision a été revu en grande partie, permettant enfin à un joueur de continuer sa course, de tenir son équilibre, ou à défaut et selon ses attributs évidemment, de se relever assez rapidement pour être en mesure de jouer le ballon jusqu’au bout, ce qui n’était pas toujours potential dans la model précédente après un contact. On a pu apprécier aussi le fait qu’un ballon contré ne parte pas systématiquement dans la course de l’attaquant antagonistic, empêchant toute intervention défensive de votre half, le cuir suivant la trajectoire qui lui sera réellement imprimé. On a aussi apprécié le fait que les joueurs ne restent plus bloqués après ce kind de conditions, accompagnent mieux leurs chutes ou, tout simplement, sautent pour éviter une state of affairs on ne peut plus grotesque. Une réalité constatée lors de nos events, tout comme une meilleure couverture défensive de la half des joueurs, notamment dans la floor. Si l’on peut mieux jouer du coude et des épaules au contact, on peut aussi voir la “hitbox” de ces défenseurs respectée lorsque ces derniers se mettent entre leur however et le ballon.
UNE MEILLEURE APPRÉCIATION DES TIRS PAR LA DÉFENSE, DES DRIBBLES DISCUTABLES
Cela fera enrager les amateurs de finition parfaite, mais les sauvetages sur la ligne,les interventions in-extremis ou encore les contres devant le gardien seront plus fréquents, à situation d’être véritablement sur la trajectoire de la balle. Pour y aider, l’amplitude des tacles a également été retravaillé, afin de permettre de mieux intervenir face aux attaquants lancés, surtout si l’anticipation de course est la bonne. Bref, défendre nous a paru plus agréable, avec ce sentiment de pouvoir intervenir jusqu’au dernier second pendant une motion, ce qui n’était pas toujours potential dans FIFA 20 et avec un meilleur utilization des attributs des joueurs concernés. Pour être complet sur les changements liés au gameplay, EA Sports promet un meilleur équilibrage du jeu de tête. Beaucoup trop performant dans le passé, ce dernier avait été sérieusement nerfé dans l’opus précédent. Pour contrebalancer une difficulté un poil trop exacerbé, FIFA 21 permettra au joueur de contrôler eux-mêmes le jeu de tête de leurs joueurs en part offensive (corners, centres, coup de pied arrêtés), après avoir désactivé l’aide aux têtes dans les réglages.
La refonte du système d’étoiles pour les gestes strategies est louable : désormais les dribbles ne seront pas définis selon le nombre d’étoiles.
Là encore, c’est sur la répétition des matches qu’il faudra juger tout cela. Un constat qui vaut pour tout mais aussi et surtout pour l’Agility Dribbling : censé permettre aux joueurs de favoriser les sorties de balle et les intervalles dans les petits espaces (il se déclenche avec R1 et le stick gauche), ce dernier, qui consiste réellement à avoir la balle qui colle au pied et à pouvoir fixer son vis-à-vis avant de l’éliminer d’une feinte bien sentie, ne nous a pas convaincu. Pas par son exécution mais par son utilité réelle, alors que tant de possibilités semblent offertes ailleurs dans le jeu offensif, et que certains dribbles sont déjà utiles dans ce registre. En revanche, la refonte du système d’étoiles pour les gestes strategies est louable : désormais les dribbles ne seront pas définis selon le nombre d’étoiles. Tout le monde pourra effectuer les mêmes gestes ou du moins les tenter puisque le niveau d’étoiles déterminera la réussite certaine ou le fail de ces mêmes gestes chez les joueurs.
UNE MODE DE DIFFICULTÉ COMPÉTITIF, PLUS HUMAIN, PLUS ESPORT
Bref, il y a quand même pas mal de changements à venir en termes de gameplay dans ce nouvel opus de FIFA. D’autant que les développeurs ont mis l’accent sur l’interactivité avec le monde compétitif, toujours soucieux de se développer au sein de l’écosystème d’EA Sports. C’est à ce titre qu’un mode de difficulté, le Mode Compétiteur, fera son apparition, pour permettre aux joueurs désireux de se frotter au plus haut niveau sur FIFA de s’étalonner. Ce dernier sera inspiré du niveau et du type de jeu des meilleurs joueurs esportifs dans le monde. Une bonne nouvelle pour ceux qui cherchent un problem, un vrai, autant qu’une vocation dans l’esport et qui devrait booster un peu plus l’intérêt de jouer contre l’IA. A situation que ce mode Compétiteur varie réellement du mode Légende, par exemple. Beaucoup de questions auxquelles cette première prise en major n’a pas totalement répondu. Forcément, il faudra éprouver le tout dans les autres modes de jeu et dans des matches en ligne, véritable nerf de la guerre depuis des années d’un jeu de sport censé être joué toute l’année. C’est d’ailleurs ce que l’on peut reprocher à cette démo, à savoir l’absence d’on-line, qui aurait aussi permis d’émettre un jugement plus précis et de véritablement voir toutes ces nouveautés, ainsi que celles apportées, par exemple, dans le mode Volta. Enfin et avant d’aborder ce dernier, sachez que les développeurs, très à l’écoute de la communauté selon leurs dires (en…fin ?) ont revu le système de célébrations des buts et des ralentis. Déjà, sachez que le temps d’attente entre les différentes phases de jeu se verra réduite. Les célébrations, comme les ralentis, pourront être zappées et les plus toxiques, comme le chut par exemple, ont été bannies.
Deuxième et distinctive mode proposé dans la model démo que nous avons pu tester – on parle peut-être d’une autre model avec FUT et le mode Carrière un peu plus tard – Volta nous invitait, outre des matches à disputer avec des groups spécifiques, à gravir les premiers échelons d’une carrière démarrant au Brésil, sous l’oeil attentionné de Kaka, l’ancienne idole du Milan AC et de la Seleçao. Si manette en major, on n’a pas senti trop de changements par rapport à l’opus précédent, on ne peut que saluer l’apport de contenus, avec des défis périodiques et des événements (Volta Battles), permettant de débloquer des joueurs stars, comme Kylian Mbappé ou encore Zinedine Zidane par exemple, mais aussi d’autres anciennes et actuelles gloires du soccer, ainsi que du cosmétique pour ces joueurs.
VOLTA TOUT-TERRAIN
D’ailleurs, en ce qui concerne ce domaine, EA accentue sa volonté d’approfondir l’univers de Volta, puisqu’outre Adidas et un partenariat toujours plus présent entre les deux entités, FIFA 21 va aussi pouvoir s’appuyer sur les équipements officiels de plusieurs cadors européens, tels que le Real Madrid, Chelsea mais aussi Liverpool et Manchester City. On pourra toujours récupérer un joueur de l’équipe que l’on vient de battre et, principale nouveauté, Volta sera jouable en ligne avec des amis, ce qui n’était pas potential dans FIFA 20, en 5 vs 5 et en mode coopératif également, ce qui devrait booster sérieusement la durée de ce mode au potentiel sure. En ce qui concerne les lieux jouables, plus de terrains seront disponibles. Au nombre de cinq précisément, seuls trois d’entre eux nous ont été dévoilés : un terrain en plein centre-ville à Milan, un autre dans le centre de Sao Paulo et enfin un dôme sportif à Dubaï, jouable de jour comme de nuit.
Pour répondre à l’actualité et à la physionomie du marché, les prêts, les échanges et les clauses seront légion dans vos futures négociations.
S’ils n’étaient pas jouables, on ne saurait ne pas aborder avec vous les modes Carrière et Ultimate Team. Le premier a subi, de la voix même des développeurs, les changements les plus importants de sa création. Il faut dire que ce mode, très populaire auprès des nouveaux possesseurs de FIFA, manquait sérieusement de nouveautés. Cette fois, il devrait nous permettre d’appréhender tous les moments-clés d’une saison de soccer. Déjà, le marché des transferts se voudra plus réaliste, avec la possibilité pour le joueur d’aborder sa saison avec des transferts cohérents (une possibility à paramétrer) ou, en début de partie, de se faire aider avec une grosse manne d’argent venu d’un mécène. Pour répondre à l’actualité et à la physionomie du marché, les prêts, les échanges et les clauses seront légion dans vos futures négociations, ce qui devrait influer votre façon de concevoir votre équipe.
UNE CARRIÈRE DIGNE DE FOOTBALL MANAGER ?
Revenons-en aux moments clés abordés plus tôt. Dans les faits, il s’agira pour vous d’intervenir comme bon vous semble durant un match de votre équipe. Via un écran qui ne saurait nous rappeler celui de Football Manager, on pourra modifier sa stratégie lors des simulations de match, où en cas de non-respect des consignes ou de scénario disaster, prendre soi-même son destin en major, chausser quick et crampons et entrer sur le terrain… et ce, lors de moments-clés. L’entraînement et le type seront deux facteurs importants, nous ont promis les développeurs. Dans le premier cas, vous pourrez changer la philosophie de jeu de votre membership, en changeant les postes de vos joueurs ou en formant les plus jeunes éléments de votre équipe à de nouvelles fonctions sur le terrain. En clair ? Si vous souhaitez avoir plus d’ailiers offensifs et moins de défenseurs latéraux, plus de défenseurs rugueux et moins de joueurs de ballons, cela ne tient plus qu’à vous. De même, vous pourrez optimiser les factors forts de vos troupes, qu’ils soient défensifs ou offensifs, selon l’entraînement que vous mettrez en place pour eux, de façon à mieux déclencher ces aptitudes cruciales en cours de match et à impacter favorablement le ethical de vos troupes. Enfin, on évoquait le type un peu plus haut. Ce dernier prévaut surtout pour l’IA, qui sera plus intelligente et plus coriace que par le passé, avec plusieurs types de jeu définis, selon l’équipe, le classement et l’significance du match. Du moins, c’est ce que l’on nous promet.
CRÉER SON PROPRE STADE, L’AUTRE PROMESSE DE FUT 21
Il est temps de conclure et quoi de mieux que de garder le dessert pour la fin avec Ultimate Team. FUT 21 sera attendu et encore plus cette année, avec l’annonce de la co’op dans ce mode de jeu, de loin le plus populaire et le plus célèbre, désormais, de la franchise. On ne pourra pas faire très lengthy et être aussi précis – comme pour Volta et le mode Carrière – dans ce registre, puisqu’on ne l’a pas eu en major. En revanche, on peut parler des nouveautés. Du co’op donc, qui sera jouable en Rivals et en Clashs d’Equipes, pas lors des week-ends de FUT Champions. On peut évoquer le fait que Divisions Rivals sera plus scruté que par le passé, notamment en ce qui concerne les objectifs saisonniers, certains joueurs n’hésitant pas à perdre des matches une fois le rang 1 atteint (et après avoir assuré un sure nombre de récompenses) et à tomber dans les plus petites divisions pour être sûr d’atteindre leur however. Il faudra disputer 40 matches pour établir son classement hebdomadaire et atteindre le rang le plus haut. S’il sera toujours potential de continuer à grappiller des factors (pour FUT Champions et pour les autres objectifs) à l’concern de ces 40 matches, votre classement, lui, ne bougera plus.
Xavi, David Villa, Eto’o, Vidic, Fernando Torres, Cantona, Lahm, Schweinsteiger ou encore Cech seront de la partie.
Dans les autres nouveautés visibles lors de notre présentation, FUT va accueillir le idea de stade personnalisable. On pourra tout concevoir, de près ou de loin, de la taille de la pelouse, à la lumière des panneaux, sans oublier la couleur et la forme des sièges. Une bonne nouvelle, notamment pour les joueurs impliqués dans la création de leur équipe et qui have a tendency véritablement à rendre encore plus distinctive l’expérience de jeu proposée par Ultimate Team. Enfin, si des leaks annoncent la présence d’arbitres internationaux et la présence non plus d’un Top 100 mais d’un Top 200, de nouvelles Icônes seront bien incluses dans ce nouveau FIFA : Xavi, David Villa, Samuel Eto’o, Nemanja Vidic, Fernando Torres, Eric Cantona, dévoilé dans le trailer officiel, Philip Lahm, Bastian Schweinsteiger ou encore Petr Cech font partie des premiers noms qui nous ont été dévoilés. En tout, ce sont 100 Icônes qui seront intégrés dans le jeu, de quoi faire tout au lengthy de la saison. Les développeurs ont également promis plus d’événements dynamiques, même si on n’était pas franchement en reste de ce côté-là… et plus de cartes liées à des moments significatifs pour les joueurs tout au lengthy de la saison.