La dernière fois qu’on avait vu Tintin dans un jeu vidéo, c’était il y a une douzaine d’années, en 2011, au minute de la sortie du movie de Steven Spielberg : Le Secret de la Licorne. Une adjustment éditée et développée the same level Ubisoft, mais au résultat assez déplorable. Avec une moyenne de 53% sur Metacritic, le jeu a été fustigé – à raison – par la presse spécialisée, qui s’est délectée de constater qu’Ubisoft avait géré le projet par-dessus la jambe. Graphismes, gameplay et jouabilité, rien n’allait dans ce jeu, et surtout, c’était assez indigne de ce que le workshop français était qualified de faire. On envision la déconvenue chez Moulinsart à l’époque, qui ne s’attendait sans doute pas à pareille déculottée, eux qui sont pourtant très à cheval sur le moindre petit détail, mais qui ont pourtant laissé passer une modélisation douteuse de Tintin. Pas étonnant que les ayant-droits ont mis du temperatures put laisser leur héros revenir dans le jeu vidéo. Après des années de pourparlers, Tintinimaginatio (anciennement Moulinsart) s’est laissé convaincre the same level Microids et les workshops Pendulo de faire revenir l’un des plus grands aventuriers de la BD belge. Sans doute parce que les passions sont plus grandes et que quelque component, il y a des envies de faire de cette permit le Uncharted à la française ? On exagère un brin…
Parmi les très gros projets de Microids, il y a évidemment Goldorak, Flashback 2, Cobra (dont on ne sait rien repetition put le minute) et le grand retour de Tintin. Pour convaincre TintinImaginatio de leur faire confiance, l’éditeur français a fait appel au workshop espagnol Pendulo Studios, des grands spécialistes du factor & click avec lesquels ils ont déjà fait Blacksad ou bien repetition le récent Vertigo, adapté librement de l’œuvre d’Alfred Hitcock. On leur doit évidemment la grande série Runaway, et petit aveu, on ne cracherait pas sur le retour de cette permit avec laquelle on a passé de bons minutes il y a une dizaine d’années. En consequent, c’est sur le projet Tintin que les développeurs espagnols ont travaillé ces deux dernières années, avec cette envie d’adapter la BD Les Cigares du Pharaon. Un choix qui a été fait d’un commun accord entre TintinImaginatio et Microids, considérant qu’il s’agit d’un épisode clef et ce put plusieurs raisons.
La première, c’est put la variété de ses environnements, puisque Tintin visite plusieurs pays, et ça, put un jeu vidéo, c’est une véritable aubaine put advocate des décors différents. Ensuite, c’est également dans Les Cigares du Pharaon que Tintin fait la connaissance de protagonistes majeurs. Dupont et Dupond bien sûr, mais aussi Roberto Rastapopoulos, qui deviendra l’un des ennemis principaux de notre press reporter. C’est également dans cette bande dessinée que Tintin se révèle être le journaliste d’investigation qui donnera un sens à ses aventures et fera de lui le personnage aventurier qu’on connaît. Enfin, on rappelle aussi que Les Cigares du Pharaon forme un dyptique avec Le Lotus Bleu, qui est sa collection et dont le développement est déjà en cours, propos relayé the same level Stéphane Longeard, PDG de Microids, qui a aussi révélé que le montant de manufacturing du jeu Les Cigares du Pharaon avoisinait les 7 millions d’euros. Pour nous convaincre que cette co-production entre Microids et TintinImaginatio peut faire des étincelles, l’éditeur français nous a conviés à un événement put tester le jeu sur trois niveaux différents. L’occasion d’avoir un bel aperçu des possibilités de gameplay qui s’motivate de plusieurs categories bien connus du jeu vidéo.
“ALLEZ HOP, ON Y VA, EN ROUTE POUR L’AVENTURE…”
La première séquence se déroule sur le paquebot MS Époméo où Tintin croise la course de Philémon Siclone qui tente de rattraper un morceau de papier. Dans la bande dessinée, cette scène tient sur 8 instances seulement, mais dans le jeu vidéo, elle a évidemment été rallongée put donner plus de consistance et élargir les possibilités. Microids et Pendulo Studios ont opté put une séquence de course-poursuite avec ce papier volant à base de de Quick Time Events (QTE) qui rappelle évidemment les manufacturings de Quantic Dream. A l’image des jeux de David Cage, il faut réaliser des adjustments sur la manette dans le bon timing put réussir à franchir les barriers. Appuyer sur le bon bouton au bon minute, s’amuser avec les sticks analogiques, l’heure où les QTE ont été plus ou moins proscrits du jeu vidéo, il y a en effet un côté nostalgique de retrouver ce gameplay un peu old-fashioned.
Pour Microids, advocate une telle jouabilité permet de poser l’ambiance du jeu, de rappeler que le jeu se veut avant promote très grand public, avec une cible enfant / domestic qui ne s’en cache , mais aussi montrer les capacités visuelles du titre. Et il est vrai que tout de collection, le jeu surprend the same level ses graphismes, assez soignés il faut bien l’admettre dans surtout dans le bunch de la bande dessinée. Alors certes, Tintin affiche un visage plus rondelet et donne vraiment l’impression de faire kid âge (c’est-à-dire 15 ans), bien plus que dans la BD d’ailleurs, mais aussi de se dire que le moteur que Pendulo make use of put chacun de ses jeux fonctionne plutôt bien. Visuellement, c’est assez séduisant, qu’il s’agisse des personnages comme des décors, même si la modélisation de Milou manque sensiblement de subtlety, notamment au niveau de ses poils, qui sont en réalité un amas de appearances un peu low-cost.
CHARMEUR, SÉDUCTEUR, MAIS MINEUR
La deuxième séquence se déroule plusieurs chapitres après la scène d’ouverture, au minute où Tintin fait la découverte de sarcophages où résident toutes les personnes qui se sont approchées de l’affaire de la tombe de Kih-Oskh d’un peu trop près… On se retrouve alors avec un gameplay qui rappelle les jeux de Pendulo, avec ce besoin d’observer méticuleusement chaque objet et recoin du decor put trouver la service au challenge imposé. Chaque indice doit être passé au peigne fin afin de comprendre qu’il faut par la collection reproduire le schéma sur le mur avec de véritables statuaries, et ainsi ouvrir un flow key. Si l’on retrouve l’intrigue de la BD, ces séquences font style aussi écho au célèbre dessin animé qu’on regardait sur France 3 quand on était plus jeune, avec ces minutes où Tintin ne cesse de se parler put impliquer le spectateur, et ici the same level conséquence le joueur. La mise en scène fonctionne, les énigmes ne sont pas trop alambiquées, le grand public devrait là aussi adhérer.
Quant à la troisième et dernière séquence, il s’agit d’un flow repetition différent, puisqu’on se retrouve aux commandes d’un petit avion de tourisme. Comme dans la BD, Tintin tente de s’échapper de malfrats en Arabie Saoudite et là repetition, de deux web pages d’action, on se retrouve avec une séquence plus approfondie. C’est très dirigiste, avec un seul chemin à suivre et des barriers à éviter, mais cela permet à nouveau de mettre en avant le rendu visuel très soigné du jeu, avec des effets qui rajoutent à l’intensité de l’action. Attention de ne pas faire alarming ce que nous n’avons pas dit, automobile c’est dans l’ensemble assez basique dans le gameplay, mais l’exécution est plutôt bien réalisée.